Critique Shark Le Monstre De L'Apocalypse

Publié le par Avenue De L'Horreur

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Réalisé par : Lamberto Bava
Ecrit par : Gianfranco Clérici, Dardanno Sacchetti
Acteurs : Michael Sopkiv, Valentine Monnier, John Garko, William Berger
Année de production : 1984
Date de sortie en DVD/Bluray en France : le 30 septembre 2013 (Alexx Prod)
Date de sortie au cinéma en France : le 23 janvier 1985
Pays : Italie
Saga : -
Anecdote(s) : -

Synopsis

Floride, l'hélicoptère des "Coast Guards" découvre un cadavre affreusement mutilé, tandis que dans l'Aqualand de la côte, les dauphins si calmes s'agitent nerveusement. Tout laisse à penser à une attaque de requins... Une équipe de chercheurs, alertée par le laxisme suspect des instances officielles, tentera d'élucider le mystère et se trouvera confrontée à une réalité dépassant la fiction...

 

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Avis de Billy Loomis

 

Dix ans après la sortie du film culte Les Dents De La Mer, le succès des films de monstres aquatiques a toujours la côte aussi bien du côté américains que du côté italien, avec de bonnes ou de mauvaises surprises !

Sortie à l'époque sous le titre Apocalypse Dans L'Océan Rouge, le film de Lamberto Bava (fils du grand Mario Bava que je ne présente plus) était aussi accompagné d'une somptueuse affiche (d'ailleurs cette même affiche est reproduite sur la jaquette du dvd et ça c'est cool !).
Maintenant autant le dire tout de suite : le résultat est assez apocalyptique ! Je suis plutôt amateur de bis italien mais ici c'est bien trop limite...

Même Lamberto Bava ne semble pas y croire (ici sous le pseudonyme John Old Jr), une histoire dit qu'il n'aimait pas le scénario ni la créature. Ce qui explique le temps de présence limité de la créature et des attaques au profit des personnages, d'où la frustration évidente !
Shark Le Monstre De L'Apocalypse se résume à quelques plans sur le dentier et les tentacules de la bête, à beaucoup de ballades en bateau, à un faux suspense et des dialogues ennuyeux. Le spectateur venu voir un bon monster-movie ne devra se contenter que du final bien pauvre lui aussi...

L'amateur pourra toujours apprécier la bande son stylisé bis de l'époque, quelques plans d'un monstre en caoutchouc et le charme indélébile de ces productions italiennes, mais l'ennui pèsera toujours !

1.5

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